Vos jeux en cours
-
Au premier abord il est chiant le boss du stage 7, mais j'ai trouvé un truc : lorsqu'il se sépare en 4, il faut tirer puis sauter entre 2 magiciens (à gauche ou à droite). Lorsqu'il est gros et seul, il suffit de marcher rapidement pour s'éloigner le plus vite possible pour éviter ses boules.
-
J'ai appliqué cette technique mais il m'a eu à l'usure (il dure beaucoup trop longtemps je trouve).
-
Après Alisia Dragoon, j'ai cherché d'autres jeux au sein de ma lutothèque qui soient aussi prenants et motivants pour finir l'année.
J'ai joué à Tiny Toons sur MegaDrive : graphiquement c'est superbe, mais au niveau du gameplay c'est bien ce que je craignais : les jeux de plateformes de ce type, que j'adorais à 9-13 ans, ne me motivent plus trop (une map, beaucoup de stages de longueur courte~moyenne, de nombreuses carottes à collecter, etc.). Et si visuellement le jeu est superbe, en revanche, les bande-son se révèle assez atroce. Le monde 1 passe encore avec les thèmes de Tiny Toons, mais les compositions du monde 2 sont très médiocres, en particulier celle-ci :
Les compositieurs de Konami auraient dû faire du Konami au lieu de tenter de produire ses musiques au style cartoon.
Ensuite, j'ai joué un peu à Sparkster sur MegaDrive. Le gameplay me convient déjà un peu mieux, mais je n'ai toujours pas été subjugué.
Finalement, c'est sur Forgotten Words sur PC Engine que j'ai jeté mon dévolu. Je l'ai donc acquis hier, et je viens de le terminer en mode easy. Un gros problème de lenteur a totalement gâché mon plaisir : ma Duo met des plombes (parfois jusqu'à 5 minutes) pour lancer les pistes audio (et le jeu se bloque tant qu'elles ne se lancent pas). Je ne sais pas à quoi cela est dû, mais j'ai le même souci sur mon lecteur Super CD-Rom².
Mis à part cela, le jeu est très bon et la conversion de qualité. Dommage toutefois qu'il y ait une telle différence entre le mode normal (plutôt difficile : on est rapidement submergé par les tirs et les ennemis à l'écran) et le mode easy (trop facile avec notamment les premiers boss qui explosent en 5 secondes). L'OST version PC Engine est excellente. J'aime bien le thème majestueux du premier stage notamment, qui prend une autre dimension en version CD. L'ambiance des premiers niveaux est bonne, ensuite je n'ai pas été fan de l'habillage "ancienne Egypte" des niveaux suivants.
Le dernier boss est long à vaincre, mais j'ai eu la change de trouver un safe spot (tout en haut à droite) par hasard, qui m'a permis de m'en défaire sans effort. Je rejouerai au mode normal si le problème de lenteur de chargement est résolu.
Maintenant je pense jouer à Strider version Arcade, car après cette pénible expérience, j'ai besoin de l'instantanéité de l'arcade
-
J'ai terminé Strider en version arcade. J'ai finalement compris comment passer la séquence du stage 5 dans laquelle la gravité est inversée et où il faut s'accrocher aux barres à droite. C'est le passage le plus complexe du jeu pour moi, lorsqu'on ne sait pas ce qu'il faut faire. La suite n'est pas vraiment simple non plus avec un enchaînement de 6 boss (Mais ça reste largement faisable)
Cet excellent classique se joue en fait par petites séquences qu'il faut et refaire pour les comprendre et les maîtriser (savoir où aller et comment ne coule pas toujours de source), sauf durant le premier stage qui est très facile. C'est au prix de sauts dans le vide involontaires et de nombreux game over qu'on apprend le jeu. La réalisation a bien vieilli (c'est sobre et élégant) et la jouabilité est bonne. Hiryuu est un acrobate qui peut s'accrocher aux plateformes et qui répond au doigt et à l'oeil. Un bémol : une fois qu'on a sauté sans appuyer à gauche ou à droite, Hiryuu saute tout droite à la verticale sans pouvoir se décaler à gauche ou à droite. Il faut le savoir et toujours imprimer la direction souhaitée dès le moment du saut. C'est un peu déstabilisant au début. Bref, la jouabilité est bonne, mais pas aussi parfaite que celle de Shinobi.
Plus qu'un jeu à terminer pour atteindre mon quota annuel de 50 jeux !
-
J'ai rejoué à pas mal de jeux pour en trouver un qui me plaise autant qu'Alisia Dragoon. J'ai rejoué à Gunstar Heroes : vraiment très bon, mais je n'ai pas spécialement envie de run and gun en ce moment. Ensuite, j'ai joué à Ex-Ranza : son maniement est vraiment déstabilisant : on dirige à la fois un robot et un petit véhicule (la manette 6 boutons permet de faciliter le contrôle des deux), que l'on peut également assembler. Le robot peut s'envoler dans les airs. La prise en main demande un investissement relativement important, au début on ne comprend pas grand chose, et il y a pas mal de subtilités. Par exemple, le robot Ex-Ranza et le véhicule ont chacun leur propre barre de vie. Si l'on est presque mort avec Ex-Ranza, il est donc recommandé de fusionner avec le véhiculer pour switcher sur l'autre barre de vie. Pour le moment, je suis seulement arrivé au stage 2. C'est vraiment spécial, mais intéressant et original. La réalisation est excellente.
Mais finalement, c'est Sparkster sur MegaDrive que je vais tenter de terminer avant le 1er janvier. Bien qu'il soit moins bon et moins novateur que Rocket Knight Adventures (ce dernier ayant eu un impact supérieur), cela reste un produit de qualité, bien réalisé, et l'ambiance typique de Konami me plaît bien. Je trouve le premier niveau un peu long en revanche (il dure une dizaine de minutes). Le boss du premier stage n'est pas évident lorsqu'on ne connaît pas la méthode pour le vaincre. J'en suis au stage 3. Chaque stage nécessite un apprentissage, d'autant qu'une épée en or est cachée dans chacun d'entre eux.
-
C'est un peu chiant Sparkster sur MegaDrive, pas le même plaisir qu'avec Alisia Dragoon... Dans le stage 3, il faut passer dans des tuyaux sans savoir où ils vont mener. Ce n'est pas franchement passionnant... Je ne sais pas si je vais insister ou m'investir dans un autre jeu.
-
J'ai mis Sparker MD de côté. C'est le moins bon de la série pour moi : moins novateur et intéressant à jouer que Rocket Knight Adventure, et à la fois moins beau et moins fun que Sparkster sur Super Famicom.
A la place, j'ai terminé Tenchi Wo Kurau II sur Saturn. Et voilà, j'ai fini mon 50ème jeu de l'année Très bon beat de Capcom. Je suis arrivé au stage 8 (sur 9) lors de mon premier run en mode normal, et j'ai fini le jeu lors de mon second run, toujours en mode normal (avec 3 ou 4 crédits en réserve : le jeu est généreux à ce niveau puisqu'on dispose de 9 crédits).
Je trouve Tenchi Wo Kurau II meilleur que Nekketsu Oyako et Crows sur la même machine. Il dispose d'un gameplay plus solide (il faut bien gérer ses déplacements) et d'une meilleure ambiance à mon avis. La réalisation est de qualité et l'action intense (on se retrouve souvent face à un grand nombre d'ennemis). Et contrairement à Dungeon & Dragons, il ne souffre pas de la comparaison avec la version arcade : les temps de chargement de la version Saturn de Dungeon & Dragons sont assez insupportables du fait du découpage en petites séquences. Ici, on a 9 stages d'une longueur standard, donc ça passe très bien. Le point fort du jeu est son ambiance assez atypique pour un beat : inspiré de l'Histoire des 3 Royaumes, il se déroule en Chine dans les années 200. Une valeur sûre.
-
Je joue à 428 Shibuya Scramble, et c'est du génie ce jeu ! Il s'avère ultra prenant. Il est vraiment difficile d'en décrocher.
La jaquette n'est pas vraiment attirante, les images non plus (esthétiquement, je préfère les visuals novels de type manga, plutôt que les visuals novels ressemblant à des films), et le jeu commence tout doucement (au début je me demande ce que ce visual novel pouvait bien avoir de spécial). Et pourtant, une fois que l'on peut naviguer entre les personnages et remonter dans le temps pour changer l'histoire, le jeu devient génial. Ce concept, le point fort du jeu, en fait un véritable "logiciel de loisir interactif" ( ) et non un simple bouquin. En effet, on doit alors réfléchir aux décisions qu'il faut modifier (à quelle heure et avec quel perso) pour changer le cours de l'histoire. Mais de ce point fort découle aussi l'un des points faibles du jeu : un multitudes de bad ending que l'on est forcé de subir (c'est un peu agaçant) et le fait de devoir se retaper les mêmes séquences de multiples fois. Le scénario et les personnages sont très bons, le tout est vraiment bien ficelé. A recommander à tous les fans du Japon et aux amateurs de japoniaiseries (dont je fais partie ) !
-
Ca me fait penser à un des premiers jeux de Konami sur PS2 ou tu naviguait dans le temps pour changer l'histoire , c'était super , domage c'est si rare ce type de jeu.
-
A l'époque il était considéré comme un gros titre ce Shadow of Memories. Je n'y ai jamais joué, préfèrant déjà à l'époque les jeux 2D sur 8/16 bits aux jeux 3D de l'ère PS2
428 Shibuya Scramble n'y ressemble pas du tout, puisqu'il s'agit d'un visual novel. C'est un bon, voire un très bon titre, mais je trouve tout de même les éloges un peu exagérés (notamment le 40/40 de Famitsu : du grand n'importe quoi), car cela reste un visual novel. Même s'il est bien construit, original, et interactif, on ne fait que lire, et je n'y trouve pas l'excitation procurée par un vrai jeu. Cela permet de changer agréablement de style entre 2 shoot ou 2 RPG, mais le plaisir demeure un peu limité, puisqu'on ne ressent pas le plaisir de la progression et de l'apprentissage. J'ai continué à y jouer et le jeu s'avère plus long que je ne le pensais. En ce qui concerne les personnages :
Tama :
Mon perso préféré. Son scénario est complètement loufoque, drôle, et original. De plus, la narration se fait à la première personne, contrairement à celles des autres personnages. Tama accepte un job pourri dans le but de gagner 20 000 yens et d'acheter un mystérieux collier. Vêtue d'un costume de chat, elle doit offrir aux passants des échantillons d'une boisson amincissante. Problème, son patron, Yanagishita, est un pathétique loser un peu taré :
Je commence toujours par son scénario, car c'est le plus humoristique et le plus cinglé.
Osawa :
Mon deuxième perso favori, dans un tout autre style. C'est un scientifique qui n'éprouve d'intérêt que pour une seule chose : les virus et leur propagation. Il ne s'intéresse ni à l'argent, ni à la gloire, ni à sa carrière. Seule compte sa passion pour le virus UA (un virus fictif similaire à Ebola). C'est une philosophie intéressante.Minorikawa :
Un journaliste freelance un peu fou (lui aussi). Ses séquences sont drôles.Kano :
Je n'aime pas trop non Kano, je trouve ses séquences un peu rasoir. Pourtant j'aime bien les polars (à l'ambiance noire, avec ses bars mal famés et ses femmes fatales), mais là c'est trop convenu, et Kano est un gros lourdeau avec ses dictons à deux balles.Achi Endo :
Beuh, je n'aime pas trop son scénario, que je trouve un peu lourd, en raison de la pseudo-romance peu inspirée avec Hitomi. Ancien membre d'un gang dont il est le fondateur, cet idiot passe ses journées à nettoyer les rues de Shibuya (par sens du devoir).
-
Au vu des photos ça à l'air tres special....
-
@Gustav said in Vos jeux en cours:
J'ai terminé Strider en version arcade. J'ai finalement compris comment passer la séquence du stage 5 dans laquelle la gravité est inversée et où il faut s'accrocher aux barres à droite. C'est le passage le plus complexe du jeu pour moi, lorsqu'on ne sait pas ce qu'il faut faire. La suite n'est pas vraiment simple non plus avec un enchaînement de 6 boss (Mais ça reste largement faisable)
Cet excellent classique se joue en fait par petites séquences qu'il faut et refaire pour les comprendre et les maîtriser (savoir où aller et comment ne coule pas toujours de source), sauf durant le premier stage qui est très facile. C'est au prix de sauts dans le vide involontaires et de nombreux game over qu'on apprend le jeu. La réalisation a bien vieilli (c'est sobre et élégant) et la jouabilité est bonne. Hiryuu est un acrobate qui peut s'accrocher aux plateformes et qui répond au doigt et à l'oeil. Un bémol : une fois qu'on a sauté sans appuyer à gauche ou à droite, Hiryuu saute tout droite à la verticale sans pouvoir se décaler à gauche ou à droite. Il faut le savoir et toujours imprimer la direction souhaitée dès le moment du saut. C'est un peu déstabilisant au début. Bref, la jouabilité est bonne, mais pas aussi parfaite que celle de Shinobi.
Plus qu'un jeu à terminer pour atteindre mon quota annuel de 50 jeux !
J'ai terminé Strider en version arcade une deuxième fois, avec un nombre de crédits plus raisonnable cette fois (9 crédits contre une bonne trentaine lors du premier run ). Le jeu est assez court (20 minutes), mais ça en fait le jeu idéal lorsqu'on a besoin de se détendre 20~30 minutes. Pour l'instant, je ne vise pas le 1 credit, car c'est tout de même assez chaud, mais j'essaierai de le finir en 5 crédits.
Le jeu est excellent, je ne regrette pas d'avoir acquis la PCB. Les stages sont variés, intéressants, et d'une difficulté bien dosée. Le jeu est difficile mais pas frustrant ni agaçant. Il y a plusieurs raisons à cela :
-
Une réalisation de qualité
-
Aucune mort injuste, le jeu est fair-play
-
La jouabilité est très bonne
-
Aucune répétivité ou passage irritant (mis à part peut-être le passage avec les barres du stage 5, lorsqu'on ne ne le connaît pas)
-
Je dirais même que diriger Hiryû constitue un plaisir. Il a la classe dans ses mouvements, que ce soient ses sauts, ses pirouettes, sa façon de s'accrocher aux plates-formes et ses coups de sabre ultra rapides.
J'hésitais entre 89% et 90%, mais allez, je donne un 90% bien mérité à ce classique ayant marqué son époque. J'ai aussi rejoué rapidement à la version MegaDrive, de très bonne qualité mais qui condamne le joueur au 1-credit. C'est tout de même sacrément abusif
Ma note : 90%
-
-
Strider terminé une troisième fois, en 5 crédits cette fois.
-
Je viens de constater que des points de vie sont cachés sur la droite, lors de l'affrontement face au boss final. Cela devrait me permettre de faire mieux lors du prochain run. Je viens aussi seulement de capter qu'on pouvait tacler en faisant bas + saut (mais ça n'a pas l'air spécialement utile, mis à part lors du deuxième stage, lorsqu'il faut glisser sous la porte juste avant d'affronter le gorille mécanique). Un grand soft en tout cas, je me prends presque autant au jeu qu'avec Shinobi.
-
Vivement la conversion sur MD , le gars qui le re-programme à l'air d'en prendre soin.
-
L'adaptation sorti en 1990 sur MegaDrive est déjà très fidèle. Que va apporter cette reprogrammation ?
-
Je parlais de Shinobi , j'aurais du préciser.
-
En attendant je m'éclate sur Spyro Reignited Trilogy , apres avoir retourné la démo dans tout les sens sur PS1 , je n'avais jamais sauté le pas , voilà que c'est fait sur ma toute nouvelle PS4 , et le jeu(épisode 1 pour l'instant) est excellent , un bon remaster , le principe du jeu est assez simple mais tres prenant , ce n'est pas aussi léché qu'un Final Fantasy 15 mais on retrouve bien l'ambiance du jeu PS1 avec des graphismes bien améliorés , les musiques sont entrainantes , les mondes sont variés , le jeu est facile(pour l'instant à 33% du jeu...) , dans cette version j'ai trouvé un peu l'ambiance/graphismes des jeux Rare , Nintendo ,le flashy de la Dreamcast , ça bouge bien , un peu de mal avec la camera libre au début(elle est parametrable libre ou pas testée...) mais on s'y fait , mon coup de coeur du moment , c'est un jeu pas prise de tete , bien quand on est fatigué de sa journée , ça demande pas trop d'investissement. Et pour 29€ c'est vraiment donné , meme si épisodes 2 & 3 sont uniquement en dématérialisé , donc pas attendre 10 ans avant de les récuperer....
-
Ah oui, c'était Shinobi. Spyro, c'est pour les tout petits, Yakuza et 428 Shibuya Scramble, ça c'est pour les adultes
Strider terminé pour la 5ème fois dans cette version arcade, en 3 crédits cette fois, en faisant un paquet de conneries dans des stages que je croyais bien maîtriser (le 2 par exemple) . Je vais viser le one-credit lors de mes prochaines parties. Le jeu est plutôt facile lorsqu'on le connaît. Je préfère ça à la série Makaimura
-
Spyro c'est à partir de 7 ans donc bon hein (Pouet!)