Vos jeux en cours
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Oui, sur Xbox, il a été traduit. J'ai d'ailleurs Shenmue II sur Xbox, mais je préfère le refaire sur sa console d'origine.
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Oui y a quand meme les sous titres anglais et je suppose les menus en français. Oui c'est le plus beau jeu de la Dreamcast tu as raison , puis plus tard tu refait version PS4 pourquoi pas. Je n'ai pas encore décidé , faut que je regarde la version PS4 , pas encore vue tourner. Comme Pier Solar , d'abord sur MD pour l'exploit puis sur DC pour la beauté du remake HD , ne l'ayant pas testé je ne sais si c'est un exploit aussi , mais c'est fichtrement beau de toute maniere.
Je pense que le choix du doublage est venu plus tard , avec les DVD , Bluray , je ne crois pas que les GD avaient la place de contenir les deux langues , et n'était certainement pas encore doublé a sa sortie sur DC , je parle du 2. S'il n'est pas sortit aux USA , c'est qu'il devait déja y avoir des problemes avec la Dreamcast ou plus de sous , il était peut etre impensable de le sortir non doublé aux USA je pense.
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Fausseté Amour (PC Engine Super CD-Rom²) terminé !
On est loin du titre triple A, mais la qualité globale du jeu m'a agréablement surpris. Au final, c'est un bon second couteau, très loin d'être une daube.
Première chose, l'ambiance et l'habillage sont typiques d'un CD PC Engine, et créent une atmosphère qu'on ne trouvait que sur cette machine à l'époque, au sein de l'univers des consoles. Le design des personnages est très réussi, et les scènes cinématiques en plein écran sont superbes. Pour les otakus friands de japoniaiserie, c'est le bonheur. On retrouve aussi de très belles cinématiques qui illustrent magnifiquement le scénario, après chaque niveau (qui sont au nombre de 7).
En revanche, j'ai été déçu par la bande-son. C'est l'un des points faibles du jeu pour moi : ce sont des musiques d'ambiance assez molassonnes. Seule la musique de l'écran-titre est réussie :
Fausseté Amour est un jeu d'action/plateforme à la Chohmakaimura. Il y a d'ailleurs un clin d'oeil à la série de Makaimura, puisque l'héroïne, Kolku perd son armure lorsqu'elle se fait toucher, puis perd son justaucorps en cas de second échec (synonyme de la perte d'une vie). Autre similarité : le second stage se passe sur l'eau avec un passage sur un radeau (comme dans Chohmakaimure sur SFC). Les similitudes s'arrêtent là, Fausseté Amour étant 1000 fois plus facile que Chohmakaimura, et son level-design plus hasardeux. Le jeu ne pose guère de problème, seul le boss du 4ème stage (4 adversaires qui vous encerclent !), le 5ème stage (vertical avec de la lave qui monte, mais plutôt lentement) et le dernier boss m'ont demandé une multitude d'essais. Contrairement aux Makaimura, Fausseté Amour se révèle très généreux en armures : si on s'est fait toucher et que Kolku a perdu son armure, elle a donc de forte chance d'en retrouver une assez rapidement (alors que c'est très rare dans les Makaimura).
Pour empêcher le joueur de foncer vers la sortie, les concepteurs du jeu on rendu obligatoire le fait d'être en possession de 3 cristaux afin d'accéder au boss. En pratique, cela n'apporte pas grand chose, je ne me suis jamais retrouvé à la fin d'un stage avec moins de 3 cristaux.
Au niveau du gameplay, deux possibilités sortent du lot :
- Kolku peut se servir de son grappin pour s'accocher au plateforme (il faut appuyer sur I après un saut), puis bondir en faisant des saltos (il faut appuyer sur II) pour grimper sur la plateforme. Indispensable pour passer le 5ème stage.
- Kolku peut attaquer à distance en appuyant sur II et bas après un saut. C'est très utile face à certains ennemis et boss.
Points forts :
- De superbes cinématiques, et des graphismes in-game réussis
- Un design et une atmosphère qui raviront les otakus
- Une bonne jouabilité
- Certains passages sont intéressants (le cinquième niveau, le boss de fin)
Points faibles :
- Des musiques d'ambiance assez décevantes pour la plupart
- Les 4 premiers stages sont trop faciles, les boss se passent du premier coup ou presque et leurs patterns sont limités et répétitifs
- Une action un peu molle et lente. Cela manque de nervosité, de dynamisme.
- Pas de raison particulière d'y revenir une fois le jeu terminé : pas de score, pas de mode hard, une seule fin.
Ma note : 72%
Au final, c'est plutôt une bonne surprise, un jeu agréable, de bonne qualité, mais qui penche plus vers le 14/20 que le 15/20 en raison d'une action un peu trop lente à mon goût et de musiques peu entraînantes. Cela dit, je préfère Fausseté Amour aux Valis, auxquel je n'ai jamais vraiment accroché.
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Comment ne pas aimer les Valis
Avec leurs musiques entrainantes , leur style bien particulier , je ne comprend pas.... Et comme on est dans le clin d'oeil , joue donc au 2 et tu verras la similitude des graphismes avec Ghosts'N'Goblins,disons le style graphique.
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Je n'aime pas du tout, je les ai toujours trouvé très quelconques. J'ai bien essayé de me forcer, mais je ne trouve aucune qualité particulière au III par exemple. En fait, je ne comprends pas la popularité de la série, qui semble ne reposer sur rien de concret et d'objectif.
- La maniabilité est moyenne. Run + bas pour effectuer la glissade : quelle idée
Déjà quand tu bouges, à la façon dont les l'héroïnes sautent et courent, tu vois qu'il y a un problème dans ce jeu. Ce n'est pas fluide, c'est très emprunté. Haut + I pour sauter plus haut, c'est bien lourd aussi. - Graphiquement, il n'y a vraiment rien d'exceptionnel. Ce n'est pas moche, mais pas beau non plus.
- Les musiques sont vite lassantes et sont loin de présenter une qualité exceptionnelle
Bref, on ne peut pas dire que Valis III soit un soft bien léché, fluide, et ultra jouable. Typiquement la production Telenet à 75% qui ne sort pas du lot. Je préfère largement Fausseté Amour, que je trouve beaucoup plus soigné.
- La maniabilité est moyenne. Run + bas pour effectuer la glissade : quelle idée
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Je ne sais pas , tu les as connu à l'époque ? Moi oui , et des que j'en ai eu gouté un il me fallait tous les faire , sauf le 2 le plus ancien , que je trouve bien aujourd'hui.C'est une série emblématique de la PCE CD comme les Ys.
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J'y ai joué pour la première fois en 2000~2005 et non dans les années 90, mais ça ne change rien au fait que leur qualité intrinsèque n'a rien d'exceptionnel. C'est au dessus de la moyenne, sans plus, en particulier, la maniabilité n'est pas terrible, et le gameplay énervant (lorsque tu te fais toucher, l'héroïne fait une roulade arrière). L'ensemble est vraiment très inégal. La série fait en effet parti du folklore de la PC Engine, mais cette popularité ne repose pas sur une vraie qualité intrinsèque. Ce sont des jeux de série B à 6 ou 7/10 que tout le monde a fait en tant que jeux d'appoint, sans les trouver géniaux.
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Je rejoue à Recca sur Famicom, et je le trouve vraiment fabuleux. On en parle beaucoup pour son prix, mais intrinsèquement, quelle merveille ! Une vitesse hallucinante et enivrante, un gameplay bien réglé (powerups à gogo, tir principal, tir secondaire, et bombes), et un challenge très relevé (je suis arrivé au boss du stage 3). J'attends de le finir pour donner (enfin) mon avis définitif, mais je le classe déjà sans problème dans mon top 10 Famicom, voire mon top 5, et je le préfère assez largement à des classiques du shmup vertical comme Super Star Soldier, Gunhed, ou Musha Aleste... Plus rapide, plus intéressant, il procure des sensations rarement ressentie en jouant à un shmup old school.
Mon armement préféré : H (homing) pour le tir principal, et S (search) pour le tir secondaire pour jouer comme un assisté
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Hellfire S terminé ! Un bon petit shoot, je vais le conserver (il était sur la sellette). Musiques CD sympa, jeu à 2, séquences cinématiques avec deux jolies héroïnes, et niveau de difficulté abordable le rendent moins austère que la version Megadrive.
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Oui faut garder les CD NEC rien que pour les musiques.
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J'ai rejoué à d'autres jeux PC Engine pour savoir si je les conservais ou non :
Macross 2036 :
Il passe le test de justesse, je vais le garder grâce au facteur nostalgie et à l'habillage "Macross". Franchement, si on enlève l'univers Macross (et la très bonne bande-son qui en découle), il ne reste plus qu'un shoot assez moyen, au gameplay assez peu intéressant, qui manque de punch. Je préfère largement Hellfire S par exemple, dont les vagues d'ennemis sont mieux étudiées. Affronter les boss sous sa forme de robot paraît une bonne idée au départ, mais au final cela prive de boss réellement intéressant.Gokuraku Chuka Taisen:
Il passe le test haut la main, c'est un très bon shoot, bien réalisé et fun à jouer. Dommage que la mémorisation devienne le principal moyen de progresser à partir du stage 3 (avec des pièges et des attaques enemies quasiment impossibles à esquiver par réflexe).J'ai aussi rejoué au très bon Son Son II qui n'était pas menacé. Avec 3 vies au lieu d'une seule, le jeu aurait été excellent à mon avis.
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Petit topo sur les jeux auxquel j'ai joué dernièrement :
Yakuza 0 : très bon, peut-être encore meilleur que le 6 ? En tout cas, la série s'est sacrément bonifié avec le temps je trouve. On partait de deux jeux certes sympathiques sur PS2 (Ryû Ga Gotoku 1 et 2 sortis en 2005 et 2006), mais que je voyais au départ comme des petits Shenmue sans la grandeur ni l'ambition. Le 3 est pas trop mal, et à partir du 4, cela devient excellent.
Nexzr : Est-il à la hauteur de sa réputation ? Maintenant que mon matériel lit parfaitement les CD, j'ai pu m'y investir correctement. Je suis allé jusqu'au stage 4. Verdict : OUI ! Très bon shoot, difficile mais très prenant. On prend plaisir à apprendre petit à petit. Les musiques sont très bonnes et l'action rythmée, variée, et intéressante. Le jeu est d'un très grand classicisme, mais justement, c'est la classe ! Le contenu des stages et les patterns des enemis et boss sont bien renouvelés, on ne s'ennuie pas un seul instant, et on a toujours envie de voir plus loin malgré une difficulté assez élevée.
Genji Tsuushin Agedama : très bon jeu, très fun à pratiquer, et original. Il se joue comme un shoot pédestre (le scrolling est automatique), mais à l'horizontale, c'est assez rare pour être signalé ! En effet, on tire tellement que son registre est pour moi plus proche du shoot que de la plateforme. En fait, la plupart du temps, on passe son temps à charger son tir, et à esquiver en attendant de pouvoir relâcher. C'est très agréable à jouer. Disons que c'est un jeu de plateformes/shoot. Malheureusement, une difficulté mal dosée l'empêche d'être vraiment génial : le dernier stage est très difficile, surtout comparé aux précédents.
Stage 1 : très facile
Stage 2 : très facile
Stage 3 : très facile
Stage 4 : moyen à tendance facile
Stage 5 : facile
Stage 6 : difficileDu coup, on n'utilise aucun de ses 3 crédits pendant les 5 premiers stages, et on les liquide tous lors du dernier.
Son Son II : Très bon, je suis allé jusqu'à la moitié du 3ème niveau. Voilà un jeu résistant qu'on ne finit pas en quelques parties. Les stages sont assez vastes et deviennent complexes à partir du 3ème. Il faut chercher la clef pour avancer. On ne dispose donc que d'une seule vie, mais en contrepartie, on peut acheter la lampe pour obtenir un crédit, et le droit à l'erreur est bel et bien présent avec une barre de vie relativement généreuse. Beaux graphismes colorés et mignons typique de la PC Engine, très bonne bande-son, jouabilité parfaite (malgré une gestion des sauts discutables), et très bonne durée de vie, c'est un produit solide de la part de Capcom et exclusif à la PC Engine. De plus, il est resté très abordable financièrement. Visiblement les nouveaux riches ne s'y intéressent pas trop
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Nexzr terminé !
C'est vraiment un très bon shoot, une fois qu'on est pris par le challenge (pas si relevé que cela d'ailleurs). Les niveaux doivent s'apprendre petit à petit, et les checkpoints se faisant plutôt rares, on est obligé de recommencer des portions entières de stage à chaque échec. Mais franchement rien d'insurmontable, on est très loin de la difficulté d'un Pulstar.
Stage 1 : facile
Stage 2 : moyen
Stage 3 : difficile
Stage 4 : difficile
Stage 5 : moyen
Stage 6 : moyenC'est surtout le milieu du jeu que j'ai trouvé peu évident. Les deux derniers stages ne m'ont guère demandé beaucoup d'essais.
La réalisation est au top, c'est très fluide, et l'action est très rythmée et variée. Les boss présentent de multiples patterns et sont intéressants. Un très bon produit auquel je rejouerai : il y a un mode hard et les scores sont sauvegardés. Les raisons d'y rejouer ne manquent donc pas. C'est un titre largement à la hauteur de sa réputation, qui justifie son prix. Quelques petites corrections auraient pu l'amener encore plus haut :
- Ne pas couper la musique à chaque vie perdue
- Pouvoir rejouer plus vite à chaque échec
- La façon dont le vaisseau explose est un peu énervante
Ma note : 88%
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Joli! Je n'ai jamais trop insisté après le stage 3, mais tu m'as donné envie de m'y remettre.
En défaut visuel, je rajouterai qu'il y a un peu trop de stages sur fond noir je trouve (je ne les ai pas tous vu, donc peut-être que ça s'améliore par la suite).
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ça vaut vraiment le coup d'insister, les derniers niveaux et derniers boss procurent beaucoup de plaisir.
Tous les stages sont effectivement sur fond noir, mis à part le 3ème (et encore, c'est parce qu'on survole un vaisseau) et le 6ème. Mais cela ne n'a pas gêné du tout, l'essentiel n'étant pas là, mais plutôt dans le level design parfaitement maîtrisé. La sobriété et le classicisme du titre renforce son aura pour moi (et ils sont contrebalancés juste ce qu'il faut par les séquences cinématiques).
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J'ai essayé de finir Gradius II sur PC Engine, plus de 20 ans après. Très bon, mais difficile ! (Je ne l'ai jamais fini) Je n'ai pas réussi, mais je suis allé beaucoup plus loin que durant mon adolescence : en mode normal, j'ai atteint le stage 8, qui consiste en un boss rush. Je suis allé jusqu'au cinquième boss du rush (les dragons rouges), et j'en ai eu assez, car il faut recommencer au premier boss après chaque échec ! C'est très lourd et cela a eu raison de ma motivation. Je réessaierai peut-être plus tard. Ce qui fait mal aussi, c'est de mettre son âge pour les high score : c'est maintenant 38 et non plus 16 comme à la belle époque
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J'essaye de faire quelque chose de R-Type Part II sur PC Engine. Je suis arrivé au (vrai) boss du 6ème stage. J'ai en effet passé avec succès la partie avec les gros machins verts, qui se fait avec la musique des boss comme musique de fond :
(Image issue de la version Arcade)Je pensais avoir terminé le stage et pouvoir enfin découvrir le 7ème, et j'ai commencé à avoir le sourire. Mais le scrolling a continué à avancer doucement. "Restons sur nos gardes" me suis-je dit. Et là, je vois apparaître le véritable boss du 6ème stage, alors que c'était déjà infernal d'en arriver jusque là !!
Les développeurs formaient vraiment une belle bande d'enfoirés, incroyable Il s'avère qu'en fait, ce boss est un ajout de la version PC Engine. Dans la version originale, il n'y a pas de véritable boss à la fin du stage 6. Il suffit de survivre suffisamment longtemps pour passer au stage 7.
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J'ai battu le boss du stage 6 (spécifique à la version PC Engine) et je suis arrivé jusqu'au checkpoint du stage 7 de R-Type II, et je pense que je vais en rester là. C'était déjà du sport d'en arriver jusque là ! La partie allant du checkpoint du stage 7 jusqu'au boss est invraisemblable, l'écran étant submergé d'ennemis et de tirs !
(Image issue de la version Arcade)En fait, à moins d'arriver avec son armement au top, cette séquence me paraît quasiment impossible à surmonter. Cela-dit, si on laisse le jeu tourner à vide, on a droit à une démo durant laquelle on peut observer ce qu'il faut faire si on se retrouve sans aucune option à ce stade du jeu, et c'est un mélange de mémorisation extrême, d'adresse, et de chance qu'il faut réussir à produire.
Si j'avais jouer à d'autres shoot au lieu de celui-là, j'en aurais déjà fini 3 ou 4
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Yakuza Zero (PS4) terminé hier ! Un très bon jeu. J'ai trouvé la partie de management du bar à hôtesse (avec Majima à la manoeuvre) addictive, et le scénario très bon.
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Oui les 4 premiers stages de R-Type sont un pur bonheur car relativement faciles , mais la suite ouille....
