Vos jeux en cours
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Bravo et merci ! Un jeu que j'adore aussi , pas été tres loin mais j'aimerais le finir...un jour....
Je te sens acheter la PCB...
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Dans la version US de Bloody Wolf, les options continue sont infinies, je ne sais pas si c'est le cas dans la version japonaise ! Très bon jeu en tout cas. Je n'achèterai pas la PCB car Bloody Wolf fait partie de ces jeux qui passent beaucoup mieux sur console, comme Contra, Super Contra, ou Midnight Resistance pour rester chez Data East.
En parlant de Midnight Resistance, je viens de le terminer sur MegaDrive au petit-déjeuner, en mode easy pour mon premier run. Très bon jeu, qui apporte vraiment quelque chose de différent par rapport aux autre run'n gun de la machine : une ambiance particulière bien servie par de superbes musiques, et un maniement original. En route pour le mode normal maintenant !
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Midnight Resistance terminé en mode normal sur MegaDrive !
Je joue toujours en configuration B3 avec le bouton B qui sert à faire tourner l'arme dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Cette fois je suis arrivé face au dernier boss armé jusqu'aux dents et je n'en ai fait qu'une seule bouchée. La principale difficulté du jeu consiste à arriver au dernier stage avec un maximum de vies et d'upgrades. Il vaut mieux sacrifier un crédit plutôt que d'arriver comme un clochard au dernier stage.
Midnight Resistance est mon petit coup de coeur de décembre. C'est un très bon run'n gun auquel il ne manque qu'une meilleure réalisation graphique pour être un très grand jeu. Les niveaux sont courts mais nombreux (9 stages) et tous très fun à jouer. Pourtant au départ, le jeu fait plutôt mauvaise impression avec des graphismes assez dépouillés, et une animation qui paraît un peu lente et hachée (la démarche du héros se fait en deux étapes !), mais tout cela devient secondaire devant la puissance du gameplay varié et jouissif du jeu.
Les points forts :
- Un armement complet avec un large choix de fusils et de powerups, donnant une véritable impression de puissance. Le fait de pouvoir acheter et choisir ses armes entre chaque niveau constitue un vrai plus.
- Des situations très variées, des stages courts mais rythmés et nombreux, on ne s'ennuie pas une seule seconde !
- Le maniement du jeu devient un véritable plaisir une fois maîtrisé
- Une excellente ambiance avec des musiques fabuleuses
- Des boss intéressants
Les points faibles :
- Des graphismes qui passent très bien une fois qu'on est bien dans le jeu, mais qui n'impressionnent pas du tout de prime abord, et laissent même une impression négative au début
- Pas de jeux à deux, mais c'est un jeu à savourer seul à mon avis
A noter que le jeu avait été testé dans le mythique numéro 0 de Consoles+.
Ma note : 85%
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Après une cure de jeux Data East (Bloody Wolf, Midnight Resistance, et Shadowrun sur lequel j'ai bien avancé), j'ai terminé Deathsmiles sur Xbox360, le seul shoot de Cave que j'aime bien, mais que je ne prendrai jamais en PCB vu le type de plaque (CV1000 : fragile et peu durable) et le prix.
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Après Midnight Resistance, j'ai laissé la MegaDrive branchée, et je me suis mis sérieusement à Thunder Force III il y a 3 jours (déjà pratiqué mais jamais terminé auparavant ; j'avais surtout joué au IV).
Je viens de le finir en deux crédits (en mode normal). Ma tactique a été de commencer par le stage que je maîtrise le moins bien : Seiren, le stage aquatique (décidément, les stages "de l'eau" ne me réussissent pas, après celui de Valis III), et de faire reset jusqu'à ce que je le passe (ce qui permet de ne pas gâcher de crédits). Ensuite, une fois ce stage réussi, c'est passé comme dans du beurre, car je connaissais déjà les autres stages, et je suis arrivé au boss de l'avant-dernier stage en un seul crédit.
La difficulté du jeu est particulière, car le jeu n'est pas très difficile dans l'ensemble, mais très brutal : au moins 3 stages parmi les 5 premiers sont basés uniquement sur la mémorisation et si on ne les connaît pas par coeur, on n'a aucune chance de les terminer, et ils paraissent très difficiles au premier abord. Thunder Force III, c'est le shoot de la "mémorisation imbécile" Le gameplay est assez déséquilibré, car basé presque uniquement sur la mémoire, il ne laisse quasiment aucune place aux réflexes, en particulier les stages de Seiren, Hades (avec des déplacements du décor), et Gorgon (la planète de feu avec des colonnes de feu dont il faut apprendre les apparitions). Une fois les stages mémorisés par contre, il ne reste plus rien, cela devient très facile, et on accumule les armes et les vies supplémentaires. Les deux stages qui suivent les 5 stages sélectionnables sont plutôt faciles, surtout le premier. De plus, pour compenser la brutalité des séquences à mémoriser, le jeu est très généreux en vies (5) et en crédits (7).
Malgré ce gameplay trop déséquilibré à mon goût (il aurait fallu plus de phases de réflexes, permettant de slalomer entre les tirs ennemis, et pas uniquement de la mémorisation), c'est un très bon shoot, surtout replacé dans le contexte de sa sortie en 1990.
Ma note : 88%
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J"avais trouvé le jeu moyen en son temps , j'ai été plus bluffé par sa suite plus récemment , peut etrte parce que le 3 étais assez dur entre autre ?
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Le 4 est en réalité plus difficile, mais moins brutal. Les stages ne sont pas basés sur la mémorisation pure comme le III, mais c'est plus sournois. Il y a des ennemis et des missiles qui arrivent tellement vite, que tu n'as pas le temps de réagir. Ce n'est pas un jeu basé sur les réflexes non plus, mais avec un gameplay assez bâtard. J'y ai rejoué hier, il est très beau, mais son gameplay est moins intéressant je trouve. Si tu n'as pas d'upgrades, les boss durent trois plombes alors qu'ils explosent très rapidement si tu as des armes. Normal me direz-vous, mais là le delta est énorme : je dirais 3 minutes pour tuer un boss si tu n'as aucun updrade au lieu de 30 secondes si tu en as.
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Je l'ai éssayé vite fait disons donc je ne peux juger , je n'évoquais que le 3 auquel j'ai joué vraiment mais j'ai peu aimé au final , mais à l'époque , des fois on change....
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Shadowrun terminé sur Super NES US !
The game destructor is back
J'ai donc enfin vraiment joué à Shadowrun et je viens de le finir. C'est un très bon action-RPG qui change agréablement du dirigisme des J-RPG. Ici, il faut enquêter, fouiller, et explorer par soi-même. Le jeu a été développé par Beam et publié par Data East USA. Il faut savoir que Shadowrun est d'abord sorti aux Etats-Unis en 1993, puis ensuite seulement au Japon en 1994. C'est donc un jeu pensé pour le marché US et basé sur un véritable jeu de rôle (qui se joue dans la réalité avec un maître de jeu), Shadowrun. Il est à noter que la version japonaise contient les textes en anglais.
Au départ, on débute sans arme, sans savoir qui on est, et sans sauvegarde aux alentours On fouille partout, et on en apprend plus, bribe par bribe, sur Jake Armitage, le héros du jeu. Shadowrun se joue en partie comme un click'n point : il faut examiner et ramasser des objets. Un petit problème est que les actions à effectuer ne sont pas franchement intuitives. On ne peut pas vraiment parler d'enquête bien ficelée. Lors des conversations, vous pouvez poser des questions à votre interlocuteur sur le sujet souhaité. On arrive ici à l'un des premiers points faibles du jeu : les dialogues ne sont pas absolument pas scriptés, ce qui veut dire que tous les personnages vont répéteront inlassablement la même chose, même si le contexte n'est plus le même et que vous leur avez déjà parlé. Ensuite, une fois armé, vous pourrez tirer au pistolet sur les ennemis pour gagner de l'argent et des points de karma, qui font office de points d'expérience. Les phases de tir ne demandent aucune dextérité, tout va dépendre de vos stats.
Deuxième défaut : la réalisation. A l'époque, les photos du jeu me faisaient baver avec leurs rues mal famées et ses bars louches, mais les graphismes sont assez sommaires.
Enfin, à la fin du jeu, on enchaîne les étages d'immeuble bourrés d'ennemis et les phases dans la matrice : il y a en effet un jeu dans le jeu qui vous fait pénétrer dans les ordinateurs pour récupérer des données.
Au final, c'est un très bon RPG qui apporte un peu de variété au niveau des RPG SNES, mais qui est très occidental dans l'esprit et qui ne plaira pas à tout le monde.
Ma note : 80%
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J'ai terminé aussi Ranma 1/2 3 sur PC Engine hier soir. Mon propre test m'avait donné envie d'y rejouer ! Hiryuu Shouten Ha !
Il faut bien se servir du Hiryuu Shouten Ha à la fin (charger le coup jusqu'à ce que la barre clignote en blanc et appuyer sur haut tout en relâchant le bouton II afin de sortir le coup du dragon céleste) pour vaincre le proviseur, Kunio, Mousse, puis Happosai. Il est à noter que les scènes cinématiques changent en fonction du sexe de Ranma (sic). Si vous gagnez en fille, ce sera Ranma fille qui apparaîtra sur les cinématiques, et ce sera Ranma garçon si vous gagnez en garçon.
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Hop, j'ai terminé Elemental Master sur MegaDrive en mode normal pour bien commencer l'année 2020 !
Le jeu est plutôt facile, à l'exception du boss rush du dernier niveau, avec un dernier boss qui a plusieurs formes et qu'il faut bourriner avec la super attaque quitte à prendre des coups. Je n'ai pas trouvé d'autre méthode en tout cas.
C'est un sacré bon jeu pour 1990, très plaisant à jouer, bien réalisé, et avec un gameplay intéressant : on peut tirer en arrière, sélectionner son arme parmi cinq qu'on acquiert au fur et à mesure, et aussi charger des attaques.
Il faudra que je rejoue à Twinkle Tale et Undead Line pour déterminer quel est mon shoot pédestre préféré sur MegaDrive.
Ma note : 85%
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Elemental Master, c'est vraiment un super titre. Je le place au dessus de Twinkle Tale et Undead Line. Surtout en raison de sa bande son dans la pure veine MD tecnosoft.
En ce moment, je joue à Mario Galaxy 2, que je trouve absolument FANTASTIQUE. Il y a 10 idées de gameplay par heure dans ce jeu, il est vraiment génial et un peu plus corsé que le 1er. Je suis à la fin du 3em monde !
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J'ai relu ton test d'Elemental Master sur Guardiana d'ailleurs
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Hop, fini Shubibinman 3 en 37 minutes chrono en faisant du vélo
Le jeu n'est pas bien long et trop facile (en normal du moins). C'était mon premier run depuis 22 ans ! Je l'avais acheté à l'Atomic Club en 1998 celui-ci, car la review dans Consoles+ m'avait plutôt convaincu. C'est un bon jeu de série B, bien réalisé et divertissant. En points faibles, en plus du manque de consistance et de challenge, je mentionnerais une jouabilité pas spécialement agréable (notamment les sauts) et un découpage des niveaux pas très clair (mais bon c'est secondaire). Il est à noter qu'un omake devient disponible dans les options une fois le jeu terminé.
Ma note : 75%
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De mémoire, c'est aussi sur l'animation qu'il pêche. Le personnage est super rigide... quasi monolithique. C'est vraiment l'exemple parfait qui démontre que la PC Engine, c'est d'abord un choix de jeux incroyables en HuCards (je préfère le 2). Les immenses jeux sont majoritairement en cartouche !
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Le 2 est plus difficile aussi. Par contre, je pense préférer les jeux CD, notamment pour les RPG (Ys IV, Tengai II, Ys I & II, Dragon Slayer...).
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J'ai terminé Splatterhouse Wanpaku Graffiti sur Famicom.
Un jeu est très sympathique. Encore une fois, la Famicom a droit à une version sur mesure qui lui correspond parfaitement. Plutôt que d'essayer d'adapter le jeu d'arcade original, Namcot revisite son classique en le transposant dans un univers SD enfantin. Bien sûr, l'ambiance est totalement différente, adieu le gore et bonjour la parodie ! Très bien réalisé, le jeu est très fun mais aussi plutôt facile, notamment grâce aux passwords qui aident bien. Pas super indispensable, mais très agréable.
Ma note : 77%
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J'ai reçu et (déjà) terminé Moero Twinbee sur Famicom Disk System.
Sorti en version US sous le nom de Stinger, et réédité en version cartouche en 1993 (qui coûte beaucoup plus cher que la version disquette, à l'instar de Bio Miracle Bokutte Upa et Akumajô Dracula), ce jeu nous ramène à l'époque où les personnages de Light et Pastel n'avaient pas encore été créés. Deuxième jeu de la série après Twinbee, Moero Twinbee est très facile (seul le stage 6 peut poser quelques problèmes) et s'adresse clairement à un très jeune public. Les boss opposent peu de résistance. On retrouve le système de bonus avec les cloches. Les musiques sont sympathiques et les graphismes très convenables pour l'époque. A dix balles en version disquette, ça passe parfaitement. A 9000 yens en version cartouche, ça ne vaut pas trop le coup à mon avis.
Ma note : 70%
La musique du dernier stage :
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Je joue à Astebreed sur PS4.
Le jeu est franchement terrible et pourtant, sur mon premier run - one life en easy du premier coup - j'étais très déçu, ayant trouvé le jeu mal équilibré et le vaisseau bien trop puissant. Le titre étant très joli et super dynamique, j'ai sans mal prolongé l'expérience. Après 4 heures sur tous les modes, je suis accro et il me rappelle quelques grosses références du genre : Radiant Silvergun (doublage des dialogues, utilisation d'une "Z sword"), Psyvariar (possibilité de frôler les ennemis), Spriggan/Aleste (Mechas), la touche Taito (Lock façon Layer Section, feeling Darius/Border Down). Le jeu peut se jouer en survie sur les modes normal et hard et en score sur le easy. Et ceci change totalement la donne !
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Le vaisseau est ultra puissant avec 3 attaques (tir, lock et sword), un EX d'invincibilité, la restauration graduelle de la barre de vie, la possibilité de supprimer presque tous les tirs directs et une accélération qui esquive presque tout et élimine la plupart des ennemis. Mieux, les attaques peuvent se combiner en échange d'une légère perte de mobilité du mecha. Bref, on peut avancer, être invincible toutes les 10 secondes, supprimer 95% des tirs, esquiver avec une facilité déconcertante. Du coup, le mode easy se joue sur le score, et là, ça devient super prenant en essayant les combinaisons à fort coefficient multiplicateur. C'est un peu le même effet qu'avec Radiant ou Ikaruga en "chain" ou en jeu classique. Le mode medium et hard présentent des patterns excellents totalement adaptés aux larges possibilités des mechas. Le stage 5 est fabuleux, épique à souhait et le boss de fin propose des boucle de gameplay géniales !