Ys VIII
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J'ai terminé le chapitre 2 et entamé le troisième. 15 heures de jeu.
Ce jeu est passionnant, c'est peut-être effectivement le meilleur Ys de tous les temps : parfaitement équilibré, il propose un gameplay reprenant les bases d' Ys Seven (alternance entre les perso avec le bouton carré) qui a parfaitement mûri pour atteindre son apogée, musiques d'enfer, et excellent scénario avec une narration soignée et bien rythmée...
Les choses s'accélèrent avec la fin du chapitre 2 qui se déroule comme une enquête et se révèle absorbante et surprenante. Le chapitre 3, lui, commence par une surprise de taille. Je pensais que le jeu allait se poursuivre sur un rythme plan-plan, avec une exploration progressive de l'île (un peu à la Metroid, avec des endroits inaccessibles qui deviennent explorables avec le bon item) et un village qui s'améliore petit à petit jusqu'à la fin. Mais les développeurs ont su renouveler l'intérêt avec brio.
Le scénario de fond avec Dana et les rêves d'Adol (un doux rêveur dans cet épisode
) sont très intrigants. Je me demande comment ces deux histoires, dans un premier temps parallèles, vont se rejoindre !Un chef d'oeuvre doublé d'un sans faute pour l'instant !
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J'ai terminé le chapitre 3 et entamé le 4ème !
Le sans faute se poursuit : le jeu se révèle d'une grande richesse (possibilité de faire des cadeaux aux autres personnages, les quêtes annexes sont toujours là, la map à explorer est immense...), et les personnages sont de très bon goût.
Cela n'a pas toujours été le cas à 100% dernièrement, avec des personnages infantiles et irritants comme Calilica (Ys Memories of Celceta) ou Elk (Ys Seven), sans compter les personnages sans grande saveur comme Mustafa et sa soeur Cruxie (Ys Seven). Je n'ai pas été trop convaincu non plus par la version de Karna et Leeza dans Celceta. Mais dans Ys VIII, tous les personnages sont attachants, avec une personnalité bien affirmée. La dernière venue, enthousiaste et bien élevée, constitue une réussite dans le genre, loin de Calilica et Elk.
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J'en suis toujours au chapitre 4, et la situation se décante.
Je trouve l'univers de Dana très réussi et extrêmement dépaysant, c'est presque un autre jeu dans le jeu. L'ambiance et le design de cette partie sont brillants et donnent vraiment l'impression de pénétrer un autre monde. Si Falcom sortait un spin-off avec Dana, cela ne m'étonnerait pas. De plus, cette histoire de grande ville en avance technologiquement et aujourd'hui disparue s'inscrit parfaitement dans la tradition des Ys.
Contrairement à d'autres séries, Ys a su faire le grand saut vers la 3D, évoluer, et même s'améliorer, tout en respectant son identité. C'est assez remarquable, vu le nombre de séries qui ont perdu leur identité complètement (Final Fantasy), partiellement (Fire Emblem), ou qui sont aujourd'hui enterrées (Tengai Makyô). Cette longévité constitue pour moi une excellente surprise, un exploit même. Le plus fort est que les derniers épisodes (Seven et VIII) dépassent même leurs glorieux aînés.
Autre point fort dont j'ai pris conscience : le village unique. Je ne suis pas fan de ce concept à la base, préférant explorer et découvrir de nombreuses villes. Mais au final, avoir un seul village permet de ne pas perdre de temps : il y a beaucoup moins de dialogues inutiles (pas de villageois qui racontent leur vie), chacun des habitants remplit une fonction précise, et ils ne bougent pas. On gagne donc en efficacité puisqu'on sait directement où aller pour forger ses armes, échanger des matériaux, fabriquer des potions, etc. De plus, les personnages sont placés très près les uns des autres. On peut donc obtenir les matériaux adéquats et forger ses armes en 10 secondes chrono.
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J'ai débuté le chapitre 5, j'en suis à 30 heures de jeu. Le grand moment que j'attendais est enfin arrivé !
Je vais commencer par faire toutes les nouvelles quêtes annexes avec pour durée "Mid".
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J'ai eu très peu le temps d'y jouer, j'ai seulement 3h20 de jeu.
J'ai trouvé le tout début sur le bateau un peu chiant mais dès qu'on arrive sur l'île on retrouve les deux gros points forts de la série avec ces combats ultra dynamiques et quelques musiques excellentes, le charme opère, pas de doute c'est un Ys.
Je trouve le début plus engageant que les derniers épisodes portables mais pas autant que le VI.Je vais avoir le temps d'y jouer davantage bientôt.
A 30h tu penses approcher de la fin?
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Je le trouve largement meilleur que le VI. Le VIII est bien plus complet, profond, et dynamique. Et pourtant, je vénère Ys VI, l'épisode qui m'a redonné la foi après 8 ans d'absence !
Le début sur le bateau est le moins bon passage de tout le jeu, le reste est génialissime.
Je ne pense pas être proche de la fin, ce chapitre 5 s'annonce long et il y en un autre après. Je pense en avoir au minimum encore pour 10~15 heures de jeu, et c'est tant mieux, car j'en redemande, un vrai régal
Je fais toutes les quêtes annexes, et j'essaie de profiter au maximum de tout ce que le jeu peut offrir.Aujourd'hui j'ai ralenti un peu en jouant à Crest of Wolf (une envie bizarre
).
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Je commence le 6ème et dernier chapitre. Le scénario est monstrueux. Loin d'être unidimensionnel, il se révèle riche et fascinant. Outre la trame principale (trouver un moyen de quitter l'île), le vrai scénario de fond (le mystère de Dana et d'Eternia) s'avère passionnant.
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Le scénario est vraiment sensationnel dans toutes ses couches :
-La vie quotidienne est bien décrite et les personnages sont épais et nobles dans leurs sentiments et leurs actions. Le jeu comporte des idées, des sensations, des vertus, et des sentiments que j'avais rarement vus aussi bien décrits et avec autant d'élégance dans un jeu vidéo : l'esprit de l'aventure, la persévérance, la curiosité, la volonté d'apaiser autrui après un drame, la volonté de rétablir la vérité même si cela arrive tard... Et en plus, les dialogues sont bourrés d'humour. C'est un véritable exploit de jouer ainsi dans tous les registres, toujours avec maîtrise et bon goût.
-L'objectif principal est motivant (survivre et quitter l'île), on ne le perd pas de vue, mais il n'est pas aussi profond que l'histoire de Dana
-La trame de fond, l'histoire de Dana est fantastique et donne une autre dimension au jeu. Dramatique à souhait, Ys VIII ne cède pourtant jamais à la facilité, comme peuvent le faire un Tengai II ou un Apocalypse IV avec des sacrifices en série qui n'ont plus de sens. De plus, contrairement à ces derniers, il conserve toujours une tonalité très positive (jamais malsaine comme Tengai II).
Franchement, je ne pensais pas que Falcom puisse atteindre ce niveau de perfection et mener à bien un projet aussi ambitieux. La jouabilité, le scénario, le gameplay (le Flash Move et le Flash Guard constituent deux excellentes idées, encore mieux exécutées que le Flash Guard d'Ys Seven), les musiques, la richesse du jeu : tout est magnifique. La série a su garder son âme et évoluer vers l'épisode ultime, c'est presque unique dans l'histoire des RPG, et elle le fait avec beaucoup plus de brio que Dragon Quest. Je suis très attaché aux années 90, mais là, TOUS les épisodes précédents sont totalement surpassés à tout point de vue par ce chef-d'oeuvre dont l'intérêt croît au fil des heures.
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Eh bien quel enthousiasme, ça fait plaisir.
Tu parles de Dragon Quest, et bien au final si ce YS VIII arrive ne serait ce qu'à la cheville de DQVIII je serai déjà très satisfait.J'ai juste 10h de jeu au compteur.
Pour l'instant je trouve toujours le jeu excellent sans être tout à fait accroc, mais Super Mario Odyssey est passé par là.
J'attends d'avoir retrouvé plus de personnages et que le scenario évolue un peu avant de me prononcer davantage.
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Ys VIII est bien meilleur que DQVIII pour moi !
Gameplay et scénario mille fois plus intéressants !Je pense m'approcher de la fin, et j'ai hâte de contempler le final, qui va forcément être riche en émotions.
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Je le commence en rentrant chez moi (à peine ouvert avant de partir en vacances) . Quel enthousiasme en effet !
J'ai été très dérouté par Ys Seven, préférant largement le style Oath in Felghana ou Origin, dans un premier temps, mais il laisse beaucoup plus de possibilités de frappe et surtout d'esquive en combat. J'espère que le VIII va être le modèle des deux ou trois prochains épisodes.
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J'avais été beaucoup plus captivé par DQVIII, Ys VIII ne me procure pas le même enchantement à ce stade.
Mais bon les deux jeux n'ont rien à voir.Pour l'instant les allers retours dans le village cassent un peu le rythme, c'est le principal truc que je reproche au jeu. Par exemple là j'étais dans un donjon et le perroquet me dit de retourner au village pour une phase d'interception d'ennemis, qui a peu d'intérêt et ne m'a pas rapporté grand chose.
Mais globalement le jeu est excellent, les combats sont certainement les meilleurs jamais vus dans un RPG en 3D, bien nerveux et intuitifs, un vrai régal, Falcom a réussi à complètement conserver le style de la série tout en l'enrichissant. Les musiques, sans atteindre le meilleur niveau de la série, sont également bien foutues.
J'ai maintenant un peu hâte d'en savoir plus sur la fille.
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Jouez jusqu'au chapitre 4 au moins et dites-moi en des nouvelles
Ys VIII me convient beaucoup plus que Dragon Quest VIII. Plus dynamique, grâce son système de combat et ses musiques (les DQ ont toujours été trop doux à mon goût à ce niveau-là), et le scénar est génial. L'histoire est très bien conçue, mais c'est surtout la façon dont elle est amenée, revélée, et mise en scène qui est parfaite.
Les retours au village ne m'ont pas gêné du tout perso, c'est super rapide et ça apporte de la variété. Bon, je vais y jouer un peu avant de dormir
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J'ai terminé Ys VIII hier soir. Le final est magistral. Le jeu aura été excellentissime de bout en bout. Il figure facilement dans mon top 10 de tous les temps. J'ai toujours été un passéiste, très attaché aux années 90 et 8/16 bits, mais il arrive parfois que le présent rejoigne le passé, voire le dépasse, et c'est le cas ici. Ys VIII est pour moi au moins du niveau de jeux mythiques comme Zelda A Link to The Past, Final Fantasy VI, et autres. Enfin, un jeu contemporain qui ne me fait pas regretter "le bon vieux temps" et me fait savourer le présent ! Le scénario est très immersif, on plonge vraiment dans un autre univers lorsqu'on joue à ce jeu, et on oublie tout.
Ys VIII est doté du meilleur scénario que j'ai jamais vu dans un RPG, bien au dessus de n'importe quel Tengai, DQ, ou FF. En tout cas, c'est mon préféré. Dana est un personnage génial. Je joue en mode hard au passage, qui est l'équivalent du mode normal d'autres jeux en termes de difficulté. Même en hard c'est un peu trop facile, il vaut peut-être mieux jouer en mode nightmare pour avoir un peu de challenge. J'ai obtenu la "true ending" : attention à ne pas jouer en ligne droite et à prendre notamment le temps de développer ses relations avec les autres perso pour l'obtenir. Je compte passer du temps sur le post game pour tout faire à 100% (il me reste encore des missions annexes intéressantes à accomplir).
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J'ai exploré 100% de la carte, obtenu 100% des coffres, et réalisé 100% des récoltes. Je vais continuer à jouer pour obtenir le donjon optionnel, et aussi atteindre le dernier étage dans le donjon de Dana.
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Quelle motivation
Je trouve que le jeu s'est bien accéléré à la fin du chapitre 2, avec une succession d'évènements assez marquants et surtout un rythme de jeu bien plus soutenu depuis.
J'y joue tous les soirs, je dois en être à 16 ou 17h de jeu et je jouerais bien plus si je le pouvais. J'ai du mal à arrêter la console maintenant, ce qui n'était pas le cas dans les 10 premières heures.
J'apprécie donc le jeu de plus en plus, avec ses combats sont toujours aussi bons, rapides et addictifs, sûrement les meilleurs jamais vus dans un action-RPG.
Du coup en normal le jeu est assez facile puisqu'on ne fuit jamais un combat et qu'on gagne des levels rapidement.
Pas grave, ce sera l'occasion de le refaire sur Switch en nightmareTout est bien pensé, comme la gestion du village, basique au départ, et qui s'avère finalement bien foutue avec un système de trade bien pensé et jamais rébarbatif. Même les phases d'interception/suppression s'intègrent bien au scénario à ce stade. Les personnages même secondaires sont bien travaillés aussi, avec un design de bon goût et pas trop manga-enfant-de-8ans, point important à mon goût.
Les musiques, bien qu'excellentes, manquent de thèmes marquants comme c'était le cas pour les épisodes 8/16 bits et le VI. Mais c'est meilleur que le VII et Celceta.
Voilà, il fallait juste que le jeu démarre réellement.
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Oui, ça accélère bien durant les chapitres 3-4-5. Je pense me le refaire en nightmare dans le futur ! Ce sera l'occasion de refaire la scène du bateau du tout début (que je trouvais un peu ennuyeuse), avec un autre regard.
Les musiques sont très bien mais je trouve que passé la moitié du jeu, elles ne se renouvellent plus assez. Il manque aussi un thème marquant pour la fin je trouve.
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J'ai terminé le donjon spécifique à Dana qui contient une belle surprise à la fin.
Maintenant il me reste à faire le donjon bonus ainsi que les dernières interceptions et suppressions pour terminer le jeu à 100% (ou presque, car je n'ai pas beaucoup pêché).
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Le refaire sur Switch en mode portable serait pas mal aussi, sous réserve que ce soit la même version que sur Ps4.
J'ai pas mal avancé sur le chapitre 4.
Les décors des ruines sont enchanteurs et la musique lorsqu'on incarne Dana aussi.Dana est balèze, j'explose les ennemis en 3 coups. Je viens de battre le boss sous le temple qui n'a pas fait long feu.
J'aime bien les séquences de pêche, simples et efficaces.
Alors que sur FFXV c'était le cauchemar
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Tu penses déjà à le refaire ? Tu ne l'as pas encore fini
ça ne me dit rien de l'acheter sur Switch perso.J'ai terminé le donjon bonus à 100%, ainsi que toutes les interceptions (la dernière était bien chaude !). Il ne me reste plus qu'à terminer 3 "suppressions" pour finir le jeu à 100%. J'ai déjà revisionné et rejoué au prologue et ça fait bizarre de revoir les personnages avec un autre regard. C'est comme si on revoyait pour la première fois des gens que l'on connaît déjà. Ce prologue est bien la partie la moins intéressante du jeu. Par contre, dès le premier combat suivi de l'exploration de l'île (avec une musique d'enfer), ça déménage.
