Vos jeux en cours
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Gremlins 2 terminé !
Adaptation d'un blockbuster du cinéma, la sortie Gremlins 2 sur NES avait été plutôt remarquée (avec notamment la couverture du Club Nintendo et une jaquette qui ne passe pas inaperçue). Le jeu est de qualité, mais plutôt court (seulement 5 stages). Si les premiers stages se parcourent très facilement, la difficulté commence à arriver à partir du stage 4-2, qui est suivi d'un boss à vaincre obligatoirement dans la foulée.
Points forts :
- Une réalisation de qualité, typique de Sunsoft, avec des musiques aux sonorités "Sunsoft" et de beaux graphismes
- Les derniers stages sont assez difficiles (rien d'insurmontable toutefois), et donc intéressants
- Dans ces derniers stages, les choix des items à acheter dans la boutique deviennent stratégiques
- Une bonne jouabilité, c'est fluide
- Un jeu non surcoté, dont on aurait tort de se priver vu son prix et sa qualité graphique
Points faibles :
- Seulement 5 niveaux, on en fait vite le tour
- Je n'ai jamais aimé les phases de plateformes en vue aérienne
- Les derniers stages peuvent énerver, surtout le dernier (c'est fait pour), avec des obstacles destinés à agacer le joueur (tapis roulant, ennemis qui attendent à l'endroit où l'on atterrit, chutes dans le vide, etc.)
Note objective : 76%
Note subjective : 80%
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Malgré une upgrade ratée (à cause des nouveaux riches sur Yahoo Auctions), je joue au très bon Chou Wakusei Senku META FIGHT sur Famicom, alias Blaster Master. J'en suis au stage 4.
Le gameplay hybride ne m'avait pas franchement captivé au départ, et le jeu semblait trop long pour un soft dépourvu de password. Et effectivement, il faut se préparer à laisser la Famicom allumée plusieurs jours si on veut le terminer.
Cependant, le jeu devient de plus en plus passionnant. Il est long (8 stages !), vaste, et labyrinthique. Des allers-retours entre les stages sont nécessaires pour progresser. Ceci est valable pour la partie en véhicule.
La partie pédestre est plus fun, mais me paraît plus simple pour le moment.
Le jeu mise davantage sur l'exploration que sur l'évolution du personnage et du véhicule. Le personne en particulier, évolue peu. Il peut gagner en puissance de feu (quel plaisir d'avoir la gauge "Gun" au maximum !), mais cela s'arrête là. Le véhicule dispose de trois armes secondaires différentes, et de diverses upgrades permettant d'atteindre des zones inaccessibles auparavant.
Encore une fois sur Famicom, c'est donc à un jeu intelligent misant sur l'exploraration que nous avons affaire. Dans un genre similaire, je pense pour l'instant préférer Guardic Gaiden, plus riche, et moins limité en ce qui concerne l'évolution et l'armement du personnage.
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J'en suis à la cinquième zone de Meta Fight. Il est à noter que pour passer de la 4ème à la 5ème zone, dans la version japonaise, il faut faire un saut dans le vide et s'accrocher à un bout d'échelle. Le passage est frustrant et a été remplacé par des plates-formes dans la version occidentale. La solution en version japonaise ? Faire le saut dans le vide et appuyer comme un malade à toute vitesse sur le bouton A pour s'accrocher à l'échelle (éventuellement avec un autofire). C'est beaucoup plus simple que d'essayer d'appuyer sur le bouton dans le bon timing. Il faut souligner qu'il faut appuyer sur A pour s'accrocher à l'échelle et non sur haut.
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Je suis arrivé à la 7ème zone de Meta Fight sur Famicom. Pour l'instant, je reste sur mes impressions de départ : le jeu est bon, mais pas au niveau de Guardic Gaiden. La réalisation de Sunsoft est encore une fois de qualité, avec des musiques typiques de l'éditeur (le thème du stage 1 est très entraînant) et de beaux graphismes. Il est très vaste et intéressant, mais nettement en deça pour moi de Guardic Gaiden. Sorti quelques mois auparavant durant la même année (1988), ce dernier propose également un gameplay constitué de deux phases distinctes : les phases d'exploration à pied et les phases de shoot (contre les phases d'exploration en véhicule et les phases à pied pour MetaFight). Même si le genre n'est pas tout à fait identique, on reste dans un registre très similaire, avec un vaste territoire à explorer, qui se débloque au fur et à mesure de l'acquisition des upgrades.
Mais Guardic Gaiden a largement ma préférence pour les raisons suivantes :
- Une bien plus grande richesse dans l'armement et l'évolution du personne et du vaisseau. C'est beaucoup plus limité dans MetaFight, qui procure un plaisir de progression bien moindre.
- Revenir explorer les zones précédentes est fastidieux dans MetaFight. Ce n'est pas du tout le cas dans Guardic Gaiden. Les phases d'exploration à pied de Guardic sont beaucoup plus agréables à réaliser que les phases en véhicule de Meta Fight.
- Guardic Gaiden propose des passwords !
Il n'y a qu'en termes de réalisation que MetaFight rivalise et dépasse sans doute (et encore, c'est une question de goût) Guardic Gaiden. Mais en termes d'intérêt et de richesse, il n'y a pas photo pour moi : MetaFight est battu à plate couture.
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J'ai terminé la version arrange de Cotton Reboot sur PS4 que je trouve très bonne. Le remake est de qualité. Il apporte intensité et qualité de réalisation tout en respectant l'oeuvre originale.
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Meta Fight sur Famicom terminé !
Very thanks !
Ma Famicom a bien chauffé ! J'ai enfin fini Meta Fight sur Famicom, après 5 jours durant lesquels j'ai dû laisser ma Famicom allumée pour ne pas tout recommencer à chaque fois. La dernière zone est assez nettement plus difficile que les autres, avec des passages très agaçants en véhicules (les chenilles deviennent très énervantes), et un dernier boss retors et très lourd avec ses 45657769 HP.
Points faibles :
- Un système d'armement trop limité et insuffisamment évolutif : deux armes seulement pour les phases pédestres et trois armes pour le véhicule.
- La jouabilité, très bonne pendant 90% du jeu, devient médiocre une fois le dernier upgrade permettent de rouler sur les murs obtenu. Il devient alors nécessaire de sauter très à l'avance pour passer d'une plateforme à l'autre, sinon le "Sophia III" (le nom du véhicule) roule sur le côté de la plateforme, ce qui peut occasionner des drames comme tomber dans la lave. Crises de nerfs garanties !
- Une dernière zone énervante (il faut refaire toute la zone en cas de game over)
- Pas de passwords, ni sauvegarde. Une folie vu la longueur du jeu.
- Certains boss ont des patterns limités et il faut alors faire la même chose pendant 2 minutes.
Points forts:
- Une réalisation de qualité. C'est fluide, c'est beau, c'est mélodieux. C'est Sunsoft.
- Un grand nombre de zones (8), qui sont vastes et labyrinthiques.
- Les upgrades du véhicule permettent d'ouvrir l'accès à d'autres zones : classique mais efficace.
- Le gameplay hybride.
Note objective : 83%
Note subjective : 80%Nettement moins bon que Guardic Gaiden pour moi.
Je vais essayer de faire RAF World maintenant.
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Jouer à un shoot MSX pendant le déjeuner n'étant pas très pratique (il faut appuyer sur le bouton "pause" du clavier), j'ai repris un peu RAF World. J'en suis au stage 3. Certains défauts me paraissent criants :
- Une gestion des sauts désagréable et peu réactive
- Impossible de tirer vers le haut
- Pour changer d'arme, il faut obligatoirement passer par le menu, ce n'est pas pratique du tout (par ailleurs ce menu n'est pas clair du tout, car il donne l'impression que chaque arme dispose de sa propre jauge, ce qui n'est pas du tout le cas (l'arme principale a des munitions illimitées, et toutes les autres armes de partagent la même jauge).
- C'est du par coeur avec peu de place laissée aux réflexes et à l'improvisation
Pour toutes ces raisons, RAF World est nettement moins fun que Contra.
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Je rejoue à Ys Origin sur PS4, 15 ans après la version PC. Toujours un plaisir d'y revenir et de redécouvrir l'histoire d'Ys. L'interface et le rendu sont un peu gênants au début (le jeu n'ayant pas été développé pour PS4) mais on s'y fait. J'ai préféré faire Ys Origin avant Ys IX, car passer de Ys IX à Ys Origin aurait été particulièrement cruel pour ce dernier je pense.
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J'avais oublié à quel point Ys Origin était excellent. C'est un véritable régal de le redécouvrir, et un grand plaisir de jouer à un Falcom très sobre, très old school dans son ambiance et sa réalisation.
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Je l'ai recommencé sur PS Vita mais je n'ai pas eu le temps de continuer.
Je l'ai fini sur PC en jap' à sa sortie et j'en garde un très bon souvenir. Peut-être un des plus faibles niveau musiques par contre.
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J'ai battu le premier gros boss, et je suis à l'étage qui est sous l'eau (the flooded prison). Je joue avec Hugo en hard. Que de bons souvenirs ! J'aime bien la bande-son perso. Je vais essayer de le finir avec tous les personnages cette fois. Ensuite, je passerai à Ys IX.
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Ys Origin est vraiment excellent dans la conception de ses donjons et de ses énigmes. J'ai aussi beaucoup la personnalité de Hugo, un solitaire qui n'hésite pas à dire ce qu'il pense, même à Reah et Feena, lorsqu'il estime qu'elles ont été imprudentes.
La version collector vaut le coup, car elle inclut un poster, et surtout le artbook fourni à l'origine avec le jeu sur PC, dans une version plus cheap mais en anglais.
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Le fait de chercher mes cartes Konami m'a incité à rejouer à certain jeux. J'ai donc fini à nouveau Crisis Force auquel je n'avais plus joué depuis 2007 et que Rakugaki m'avait ramené du Japon pour 20 balles (c'était le bon temps).
il est vraiment très bon. Le système d'armement est intéressant, puisque le vaisseau peut prendre 3 formes différentes (en appuyant sur le bouton A), et qu'on peut choisir des upgrades bleues ou rouges. Chaque type d'upgrade a ses propres variantes lorsqu'on change de forme. A cela s'ajoute la possibilité de muer en un vaisseau surpuissant en collectant 5 pastilles bleues. La réalisation est de très grande qualité. C'est un shoot de type "grand spectacle", mais le level design n'est pas bâclé pour autant. Sans être aussi fin et étudié que celui des plus grands shoot, il s'avère plutôt varié et intéressant.
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Je vais sûrement me remettre à Ys Origin, je finirai peut-être le IX en hard d'abord.
Crisis Force je l'avais vendu parce que ma boite était en mauvais état mais maintenant il vaut une blinde (refrain connu).
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Je vais en avoir pour un moment sur Ys Origin, car il faut finir le jeu en mode normal (ou plus dur) avec tous les perso, mais aussi en easy, en very easy, et en nightmare pour avoir tous les trophées.
De mon côté, j'attends d'avoir trouvé le remplacement avant de vendre le jeu en mauvais état.
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Je suis arrivé au même point que lors de mes runs précédents à Recca sur Famicom : au boss du stage 3. Toujours aussi impressionnant (et cruel pour la Super Famicom).
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J'ai vaincu le 4ème gros boss de Ys Origin. Toujours aussi bon. Mon programme :
- Finir le jeu en mode hard avec Hugo (en cours)
- Finir le jeu en mode normal avec Yunica
- Finir le jeu en mode nightmare avec le 3ème perso
- Finir le jeu mode easy avec le 4ème perso
- Finir le jeu en mode very easy avec l'un des perso
Je ne sais pas si j'aurai la patience nécessaire pour respecter réellement à ce programme
(de mémoire j'avais fini le jeu sur PC en jap avec Hugo, puis sur PC en anglais encore une fois avec Hugo ; puis j'avais commencé le scénario de Yunica sans aller au bout)
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Parce que le trophée du mode le plus difficile ne débloque pas ceux des modes de difficulté inférieurs? C'est à l'ancienne.
Moi je ne l'avais fini qu'en jap' avec Hugo je crois.
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Je ne crois pas vu la description des trophées :
https://psnprofiles.com/trophies/5859-ys-originJ'ai battu le 5ème gros boss. Après les héros de Trails of Cold Steel qui en font des tonnes sur l'amour et l'amitié, ça fait du bien de revenir à un Falcom à l'ancienne, très sobre.
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Etant quasiment au dernier étage, je ne suis plus très loin de la fin de Ys Origin. J'avais oublié à quel point le jeu est excellent ! Les donjons sont très bien construits et intéressants à parcourir. Il y a juste ce qu'il faut de dialogues et d'énigmes pour assurer un bon équilibre, et le scénario est très bon.
Etrangement, en prenant de l'âge, je prends de plus en plus de plaisir avec mes jeux vidéo (bien plus qu'en 2010, et plus que durant les années 2000 également). J'ai l'impression d'être plus apte qu'autrefois à évaluer et apprécier un bon level design, un bon scénario, ou un gameplay bien réglé. Je me demande même si je ne prends pas encore plus de plaisir que durant les années 90 ! La passion n'est pas prête de s'éteindre !
